nootropics

Les substances qui rendent plus intelligent peuvent être trouvées sous de nombreuses formes différentes. Certaines personnes peuvent les considérer comme des drogues, tandis que d’autres y voient un moyen d’améliorer leurs capacités cognitives. Il existe un large éventail de ces substances, chacune ayant ses avantages et ses inconvénients. Certaines des plus populaires sont décrites ci-dessous.

Adderall

Stimulant couramment utilisé pour traiter le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Il peut également être utilisé de manière non indiquée pour aider les gens à se concentrer et à rester éveillés pendant de longues périodes. L’Adderall augmente les niveaux de dopamine et de norépinéphrine dans le cerveau, ce qui peut améliorer l’humeur et la concentration, mais il peut aussi provoquer des effets secondaires tels que la nervosité, l’anxiété et l’accélération du rythme cardiaque.

Ritalin

Un autre stimulant utilisé pour traiter le TDAH. Comme l’Adderall, le Ritalin augmente les niveaux de dopamine et de norépinéphrine dans le cerveau, ce qui améliore la concentration et l’attention. Cependant, la Ritaline peut être moins efficace pour certaines personnes et provoquer des effets secondaires tels que l’insomnie, les maux de tête et la nervosité.

Modafinil

Une substance utilisée pour traiter la narcolepsie, mais qui a également été utilisée de manière non autorisée pour améliorer la concentration et la vigilance. Par exemple, le Modafinil est une substance largement utilisée par les entrepreneurs et les hommes d’affaires car elle réduit la fatigue et la somnolence en augmentant les niveaux de dopamine. En outre, il accélère la capacité d’apprendre quelque chose de nouveau.

Source: Wikipedia.org

Piracétam

Le piracétam est un nootropique utilisé pour améliorer la mémoire et la capacité d’apprentissage. Le piracétam augmente les niveaux d’acétylcholine dans le cerveau, ce qui peut améliorer la mémoire et la capacité d’apprentissage. Cependant, certaines personnes ont signalé des effets secondaires tels que des maux de tête, des étourdissements et des nausées.

Ces substances accélèrent le temps d’apprentissage de quelque chose de nouveau, améliorent la mémoire et augmentent la plasticité neuronale, qui est la clé de meilleures performances cérébrales et de la capacité de raisonnement. Lorsque nous apprenons quelque chose de nouveau, les réseaux neuronaux changent de forme. Ils sont modifiés et ne traitent plus jamais l’information de la même manière qu’avant. La modification des réseaux neuronaux permet de s’adapter à une tâche et de devenir plus performant à l’avenir.

La dépendance à la pornographie

La dépendance au porno est un problème de plus en plus courant. Elle touche des personnes de tous âges et peut être très dangereuse.

Les effets négatifs sont nombreux. Elle peut affecter la santé mentale et physique, ainsi que les résultats scolaires ou professionnels. Elle peut également interférer avec les relations personnelles et sociales.

La dépendance est associée à des troubles du sommeil, à l’anxiété, à la dépression et à des problèmes de concentration. Elle peut également provoquer des maux de tête, des douleurs dorsales et cervicales, ainsi que d’autres problèmes physiques.

Si vous ou l’un de vos proches est aux prises avec une dépendance à la vidéo sexuelle, il existe des traitements. Demandez l’aide d’un professionnel pour obtenir plus d’informations sur la façon de surmonter ce problème.

Que sont les nootropics?

Nootropics

Les nootropiques sont des substances qui sont utilisées pour améliorer les performances cognitives. Ces substances peuvent améliorer la mémoire, la capacité d’apprentissage et l’attention. Certains nootropiques peuvent également améliorer l’humeur et réduire la fatigue. Ils sont utilisés depuis longtemps pour traiter divers troubles et de manière non indiquée pour améliorer les performances cognitives. Certains des effets secondaires peuvent inclure la nervosité, l’insomnie et les maux de tête.

Une condition à remplir pour être considéré comme sûr et sain est qu’il ne modifie pas l’électroencéphalogramme, qui mesure les ondes électromagnétiques dans le cerveau. Il doit également être capable de traverser la membrane cérébrale pour exercer son effet stimulant. En outre, il ne doit pas avoir d’effets secondaires et doit augmenter le métabolisme et la vitesse de fonctionnement du cerveau.

Supposons que l’on considère les dangers de l’utilisation d’une drogue intelligente telle que celles mentionnées ci-dessus, surtout à long terme. Dans ce cas, on cherche des alternatives naturelles, saines et sûres à long terme, qui sont des substances cognitivement bénéfiques et plus sûres, présentant les mêmes avantages.

https://www.scientificamerican.com/article/autisms-drug-problem/

Il existe des alternatives naturelles

Différents moyens d’améliorer les performances cognitives, tels que l’exercice physique et le repos. L’exercice aérobique peut améliorer la capacité d’apprentissage et la mémoire. Il est également essentiel de se reposer suffisamment pour permettre au cerveau de récupérer des activités mentales exigeantes. Il existe également des compléments alimentaires qui peuvent améliorer les performances cognitives.

https://www.brainzyme.com/blogs/nootropics-uk/smart-pill-review-2019

Ginkgo biloba

est une plante de la médecine traditionnelle chinoise traditionnellement utilisée pour traiter les pertes de mémoire. Elle peut améliorer la circulation sanguine et la mémoire à court terme et peut également protéger le cerveau des dommages oxydatifs. En outre, cette plante est un symbole de longévité et de vitalité et on suppose qu’elle a la capacité de produire de nouveaux neurones.

Il peut être consommé quelques heures avant un examen pour améliorer la capacité de la mémoire à court terme ou lorsque vous avez une tâche exigeante.

Danggui ShaoYao san

Par ailleurs, la médecine traditionnelle chinoise propose un mélange de plantes traditionnellement utilisées pour traiter les pertes de mémoire. Par exemple, certaines études ont indiqué que le danggui Shao Yao san pouvait améliorer la mémoire chez les personnes atteintes de démence légère. Il est surtout connu pour stimuler la création de nouveaux vaisseaux sanguins et est un antioxydant, prévenant ainsi les dommages causés par des maladies comme Parkinson ou Alzheimer. Et est également recommandé pour la récupération après un accident vasculaire cérébral.

Crinière de lion

C’est un champignon de plus en plus connu, riche en une substance appelée bêta-glucanes, qui a une fonction neuroprotectrice et aide à la formation de nouveaux neurones, accroît la plasticité neuronale et augmente la myélinisation, c’est-à-dire le revêtement des neurones.

Bacopa

C’est l’une des plantes les plus importantes de l’Ayurveda. Elle est connue pour protéger les neurones dans des zones spécifiques des régions qui sont liées à la mémoire et au comportement de bonne performance cognitive.

Vitamine B12

C’est une vitamine que l’on trouve dans des aliments tels que la viande, les œufs et le lait. La vitamine B12 est nécessaire à la production de cellules sanguines et à la fonction nerveuse. Certaines études ont indiqué que la vitamine B12 peut améliorer la mémoire. En outre, elle augmente les niveaux d’énergie, améliore l’humeur et permet de se concentrer plus longtemps sur quelque chose.

Plus d’informations sur la vitamine D

Oméga-3

Cet acide gras se trouve dans des poissons tels que le saumon, la truite et les sardines. On peut également trouver des oméga-3 dans les algues et les huiles de poisson. L’oméga-3 est traditionnellement utilisé pour traiter les pertes de mémoire.

Acide folique

Cette vitamine se trouve dans des aliments tels que les légumes à feuilles vertes, les haricots et les céréales complètes. L’acide folique est nécessaire à la production des cellules sanguines et à la fonction nerveuse.

 

Ces substances améliorent nos capacités cognitives.

Ils nous font apprendre plus vite et mieux mémoriser. C’est une question d’énergie. Le cerveau est l’organe qui consomme le plus d’énergie. Cela n’a rien à voir avec l’intelligence, mais avec le fait d’avoir suffisamment d’énergie pour utiliser simultanément plusieurs zones du cerveau et la quantité d’énergie disponible pour activer tous les neurones.

De nombreux compléments pris à jeun, en fournissant de l’énergie au cerveau, augmentent la vitesse à laquelle nous recyclons les vieux tissus pour les nouveaux, ce qui permet aux neurones de rester en bonne santé pendant plus d’années.

En résumé, il existe différents moyens d’améliorer les performances cognitives, notamment l’exercice, la méditation et une alimentation saine. Différents remèdes naturels ont également été utilisés pour traiter les pertes de mémoire, bien que tous les remèdes ne fonctionnent pas pour tout le monde.

https://go.drugbank.com/

https://en.wikipedia.org/

https://www.webmd.com/

https://medlineplus.gov/

Reading time: 7 min

Si la nature n’est pas forcément votre point fort, alors le mot Ornithologie ne vous dira probablement rien. Et vous serez probablement aussi surpris d’apprendre que ce sont beaucoup de groupes, de clubs et d’associations qui ont pour but l’étude des oiseaux en France. Il suffit de faire une simple recherche sur Internet pour trouver des dizaines de sites web consacrés à donner de l’information concernant ce domaine connu sous le nom d’Ornithologie.

Heureusement, dans le monde entier, il existe des groupes d’activistes qui s’intéressent à la préservation des animaux et, bien sûr, de leurs habitats. La Ligue pour la protection des oiseaux a fait des efforts énormes depuis plus de 50 ans pour la préservation des oiseaux en Ile-de-France et dans toute la France, à travers des programmes de sensibilisation, le soutien à d’autres associations, des partenariats et des ateliers de préparation pour les ornithologues amateurs.     

Qu’est-que c’est l’ornithologie ?

D’après le dictionnaire de la langue française Le petit Robert, l’ornithologie est la partie de la zoologie qui étudie les oiseaux. Evidemment, dire « l’étudie des oiseaux » est assez général. On peut donc regrouper cette science dans différents domaines d’étude tels que la taxonomie, la systématique, la physiologie, l’étude de la morphologie, etc. Sans aucun doute, une science qui a grandi au fils du temps, car au début l’ornithologie s’intéressait principalement à la description et à la distribution des espèces grâce à la simple observation pour le plaisir, mais actuellement, l’ornithologie regroupe différentes pratiques soutenues par l’étude scientifique.

Dans tous les pays, il y a peu d’ornithologues – chargés de pratiquer l’ornithologie – mais le nombre d’ornithologues amateurs augment au fils du temps. Ainsi, l’ornithologue est la personne chargée de collecter des informations des oiseaux en milieu naturel sans perturber celui-ci ni l’animal. Mais il est important de ne pas le confondre avec ceux qui pratiquent l’élevage et la collection d’oiseaux vivants. En tant qu’ornithologue amateur, chacun peut choisir une spécialisation s’il le souhaite. C’est-à-dire qu’ils peuvent spécialiser dans une famille d’oiseaux spécifique, ou simplement dans l’alimentation de certains oiseaux, la migration, le comportement en fonction de leur habitat, etc. Certainement, il y a de nombreux domaines que ces spécialistes peuvent explorer.

Mais… quelle est l’origine de cette science ? L’ornithologie en tant que science est née au XVIe siècle, lorsque le français naturaliste Guillaume Rondelet et l’anglais peintre William Turner ont mis sur papier toutes les observations concernant la nature. Mais cette pratique existe depuis de nombreuses années déjà. En effet, des dessins datant de l’âge de pierre suggèrent que l’homme de cette époque était très intéressé par ces créatures. Comme aujourd’hui, de nombreux oiseaux représentaient une source de nourriture pour eux, cette chasse méritait et exigeait donc l’observation d’habitudes la proie.

Et pourquoi l’ornithologie et la conservation des oiseaux est-elle si importante ?  Certains oiseaux sont des prédateurs et d’autres sont des nettoyeurs. Chacun, dans l’exercice de sa fonction, contribue à l’équilibre de l’écosystème mondial. L’importance de cette science réside donc dans le fait qu’en connaissant l’interaction de l’animal avec son environnement, cela nous aide à comprendre l’écosystème. En outre, l’étude des oiseaux a permis de développer plusieurs concepts clés de l’évolution, du comportement et de l’écologie : processus de spéciation, instinct, niche écologique, etc.

L’ornithologie en France: Naissance de la première réserve ornithologique LPO

En France, il y a nombreux d’associations, de groupes et d’organisations consacrées aux études et aux soins des oiseaux, mais beaucoup d’entre elles sont relativement nouvelles. Les pionniers dans ce domaine sont la LPO, Ligue pour la Protection des Oiseaux, crée en 1912 par un groupe de naturalistes qui ont réagi au massacre des macareux moines perpétré deux ans auparavant à l’Île Rouzic (Côtes-d’Armor, Bretagne). La chasse indiscriminée de cet animal pendant deux ans a réduit la population de 20 000 à quelques centaines.

Ce fut le 28 aout 1912 quand la LPO gagne sa première bataille, car un arrêté préfectoral interdit la chasse, la destruction et la vente des macareux sur le rivage de la mer et sur les îles. Dans ce moment-là, la première réserve naturelle en France a été créée, Réserve ornithologique des Sept-Iles (Ile-Grande, Clermont-Ferrand, Buoux, Audenge, Castres, Rosenwiller, Villeveyrac).

Jusqu’en 1970, la mission principale de la LPO était de surveiller cette réserve naturelle et dénoncer le commerce des plumes d’oiseaux, mais plus tard la ligue commence à adopter une dynamique plus active du point de vue scientifique et ils lancent également des projets pour la création de nouvelles réserves.

D’après données officielles du site web https://www.lpo-idf.fr  a LPO compte aujourd’hui un peu plus de 50 000 membres, 5000 bénévoles actifs, 400 salariés sur le territoire national et un réseau d’associations locales actives dans 79 départements, ce qui la fait la première association de protection de la nature en France.

Création du CORIF et son développement

Quépat, Sinety, Degland et Gerbe, Labitte ont été les premiers à publier les résultats de leurs recherches, mais ce sont J.-M. Thiollay et J.Vieilliard qui, en 1962, publient une première chronique consacrée aux observations ornithologiques en région parisienne.

En 1966, le Groupe Ornithologique Parisien (Gop) révolutionne le monde de l’ornithologie en publiant la première revue ornithologique régionale : Le Passer, et en 1975 naît une autre association ornithologique sous le nom d’Association Parisienne Ornithologique (Apo), qui deux ans plus tard éditera le premier ouvrage synthétique d’ornithologie de la région Île-de-France : « Les Oiseaux de la Région parisienne et de Paris ». Ce n’est qu’en 1982 que ces deux institutions (l’Apo et le Gop) ont décidé de se réunir pour créer une nouvelle association régionale d’ornithologie aux idées neuves et aux objectifs nouveaux : le Centre Ornithologique Île-de-France (Corif).

Le Corif a pour but la découverte, l’observation et la protection des oiseaux dans les huit départements de la région parisienne. Bien entendu, pour atteindre les objectifs de l’association, le groupe doit mener certaines actions au niveau local et national. Par exemple, la création d’un programme d’activités, sensibilisation du public à la nature, participation aux enquêtes et actions de protection.

De 1990 à aujourd’hui, le Corif compte au moins 600 membres et actuellement atteint un budget de 440 000 € annuellement.

Ainsi, le Corif avait beaucoup de partenariats avec de nombreuses associations naturalistes en Île-de- France, et ils sont co-fondateurs d’Ile-de-France Nature et membre de France Nature Environnement (FNE), fédération nationale des associations de protection de la nature. Cependant, en 1997, ils essaient de créer une Délégation LPO Ile-de-France, mais on a constaté l’échec de ces discussions. Finalement, réunis en Assemblée le 16 décembre 2017, adhérents du Corif ont accordé un projet de fusion avec la LPO pour y créer la délégation LPO Ile-de-France.

LPO et CORIF : objectifs de la Délégation LPO Île-de-France

Grâce aux discussions entre les deux associations, il est créé une Délégation Île-de-France de la LPO dont le but principal est la protection de la biodiversité à l’échelle de la région Île-de-France. Parmi les activités les plus importantes de la délégation, trois sont essentielles :  la conservation des espèces sauvages et des espaces naturels, le développement de la connaissance naturaliste et la sensibilisation, l’éducation et la formation à la protection de la nature. Ces trois objectifs sont atteints, indique le site officiel de la délégation, grâce à quatre objectifs spécifiques :

  • Observer :  Tant les amateurs débutants que les ornithologues confirmés membres de l’association ont la possibilité de participer aux sorties d’observation afin d’observer de près l’environnement et le milieu naturel des oiseaux : bois, forêts, plaine, étangs. Ces sorties sont prévues dans des endroits idéaux pour cette activité en Île-de-France, mais des sorties en dehors de cette région sont également proposées. De cette façon, il est possible de découvrir différentes espèces.
  • Reconnaître : Probablement, l’un des moments les plus satisfaisants pour tous ceux qui étudient cette branche de la zoologie, qu’ils soient amateurs ou professionnels, est sans doute la reconnaissance d’une espèce. Aux sorties sur le terrain, la LPO Île-de-France commercialise et met à disposition des adhérents du matériel d’appuie qui exposent les critères d’identification des différentes espèces d’oiseaux : guides d’identification, CD vidéo et audio, livres d’initiation, etc. L’association est très engagée dans l’éducation et la sensibilisation des plus jeunes à la nature et à son importance. Elle propose donc également des cours et des activités éducatives spécifiques pour les lycées afin d’éveiller le goût pour la nature, de les sensibiliser à la faune et à la flore qui les entoure et de les responsabiliser de la préservation de l’environnement.
  • Étudier : Évidemment, après la phase d’observation et de reconnaissance des espèces, une partie très importante du processus arrive : l’étude. Une fois que tous les participants, seuls ou en groupe, ont réalisé leurs études – qui peuvent être faites pendant les périodes de nidification, de migration ou d’hibernation – une sorte de synthèse est faite qui sera ensuite publiée dans la revue scientifique Le Passer. Il existe également un groupe d’observateurs qui échangent leurs observations et leurs notes au travers de bases de données en réseau.
  • Protéger : Bien entendu, tout le travail et les efforts que l’association déploie pour étudier les oiseaux visent également à protéger les créatures, et pour parvenir à la préservation des oiseaux, il est tout simplement essentiel de prendre soin de leurs habitats et leurs milieux naturels, mais la tâche n’est pas facile en raison de toute la pression exercée pour développer de plus en plus de zones vertes dans le monde. Cependant, la LPO s’efforce d’être présente et de mettre l’accent sur l’identification et la prise en compte des besoins écologiques des espèces dans les projets de développement régional. Ils s’efforcent également de construire des nichoirs dans les espaces verts et les bâtiments, de conseiller les institutions publiques et privées sur les problèmes de cohabitation avec les oiseaux, entre autres.   

Parmi le matériel de soutien gratuit distribué par l’association, on peut trouver leur chaîne vidéo Youtube où l’on trouve des vidéos explicatives et de nombreuses informations utiles concernant les activités menées par la délégation, et leur compte sur Instagram https://www.instagram.com/lpo_idf/ tout aussi utile pour suivre toutes les informations qu’ils ont pour nous.

Y a-t-il d’autres organisations ornithologiques ?

Comme on a déjà dit au début, en France les oiseaux ont nombreux de défenseurs. Depuis de nombreuses années, différents clubs sont nés qui visent à la conversation des oiseaux : Association Ornithologique de Seine et Marne, Club Ornithologique Lutécien, Société Ornithologique de la Région Parisienne, Malinois Club de Paris, Canari Club de l’Ile de France, Amicale Ornithologique de Savigny-sur-Orge et de l’Essonne, Club Ornithologique Sud Essonne – ETAMPES, Association Française des Éleveurs de Canaris de Chant (AFECC), Groupement Ornithologique de la vALlée de l’Oise-au (GOAL). Enfin, il suffit d’une petite recherche sur Internet pour se rendre compte qu’il existe de nombreuses organisations françaises associées au même objectif.

L’observation des oiseaux en période de COVID-19

Les férus des oiseaux, les professionnels de l’ornithologie et les amateurs pourront trouver de nombreuses informations pertinentes sur le site officiel de Corif. Sur la page d’accueil, ils ont prévu un lien pour tous ceux qui souhaitent soutenir les actions de la délégation pour la défense de la nature en Ile-de-France. La LPO offre également la possibilité de s’adhérer à la délégation afin de partager leurs connaissances naturalistes et agir pour la protection des oiseaux et des milieux où ils habitent. Les intéressés peuvent s’adhérer par courrier ou en ligne.

De plus, en raison de la situation mondiale actuelle de la pandémie COVID-19, la LPO Île-de-France a décidé de lancer une activité d’observation appelée « à l’heure des oiseaux » qui peut être réalisée depuis le domicile ou, au maximum, 1 kilomètre de distance. L’activité propose de prendre un peu de temps chaque jour pour observer et pour participer il suffit d’entrer les listes d’espèces sur Faune-Île-de-France ou depuis le mobile sur l’application Naturalist et de sélectionner le code étude « heure_oiseaux ».

Le projet durera jusqu’au 1er décembre et une fois que toutes les informations auront été collectées, un top 10 des espèces les plus observées, les espèces les plus inattendues, et le nombre de participants sera publié. C’est une façon d’encourager les amateurs de cette activité à reprendre progressivement le passe-temps, mais sans oublier qu’ils doivent suivre strictement tous les conseils donnés par les autorités sanitaires.

Reading time: 11 min